Investir en soi

Investir en soi : comment réussir le meilleur investissement de votre vie ?

Quel est le meilleur investissement de votre vie ? Quel est celui que vous considérez être le meilleur ? Pourquoi ?

Pour moi et pour beaucoup d’experts, coachs, consultants, thérapeutes, formateurs, auteurs… le meilleur investissement de votre vie : c’est l’investissement en soi ou disons le fait d’investir en vous, si vous préférez.

Investir en soi, c’est quoi ? Ça veut dire quoi, concrètement ? Quelle est la définition de l’investissement en soi ?

Investir en soi : le meilleur investissement de votre vie.

Ça me semble nécessaire de commencer par une définition pour bien cibler le sujet.

Investir en soi cela veut dire investir du temps, de l’énergie et de l’argent pour grandir et se développer.

Notez que j’ai dit temps, énergie et argent. Notez également que j’ai commencé par dire temps.

Le meilleur ami de l’argent c’est le temps. Le meilleur ennemi de l’argent… c’est le temps !

Comme j’aime le rappeler à ceux qui me disent qu’ils n’ont pas d’argent : investis (ou investissez) du temps !

L’inverse marche très bien aussi : vous n’avez pas de temps alors investissez de l’argent !

Notez également que j’ai dit grandir et se développer ce qui veut dire que ça ne se résume pas uniquement à (comme le pensent spontanément, la plupart des personnes qui parlent d’investissement en soi) la formation ou l’éducation.

Qu’en pensez-vous ?

Forcément comme je viens de le mentionner et comme vous le savez ou vous l’imaginez, l’investissement en soi est bien souvent liée à l’éducation, la formation… ou encore l’apprentissage.

Pourquoi investir en soi ?

Imaginez un jeune homme de 19 ans, terrifié à l’idée de parler en public.

Il est tiraillé car il a envie de pouvoir s’exprimer en public et en même temps, à chaque fois, qu’il a une occasion : sa gorge se noue, son cœur bat la chamade, ses mains ruissellent de transpiration. Des mains moites, ses joues rougissent et sa respiration devient saccadée.

Quand on parle de public : ne vous imaginez pas une salle pleine à craquer de plus de 2 000 personnes. Ce jeune a, énormément, de mal à parler à un mini groupe de 2 personnes et éprouve même de grandes difficultés à échanger avec une personne du sexe opposé. Il y a un paradoxe.

Ce jeune homme est un élève plutôt brillant d’une école de commerce : qui dit école de commerce dit (normalement) capacité ou appétence ou tendance (ou développement des compétences liées) à vouloir (ou obligation de) communiquer… en public.

En école de commerce, il y a très souvent des exercices, des travaux, des présentations, des exposés… en individuel ou en groupe face à un groupe de quelques dizaines ou quelques centaines de personnes. C’est un vrai calvaire, supplice et une vraie torture pour lui !

Le jeune adulte souffrait, régulièrement : quand vous avez des prises de paroles en public hebdomadaires alors que ça vous rend malade à en vomir (littéralement, il vomissait en permanence avant et après), je vous laisse imaginer la souffrance !

Bien entendu, cette souffrance le suivait à la maison. Ses relations avec sa famille et ses proches commençaient, sérieusement, à en pâtir.

Qu’est-ce qui vous rend (ou vous rendait) malade ? Malade à en vomir ?

Cela me rappelle l’histoire d’un élève qui était battu (il se prenait de grosses et grandes claques, circulaires, gratuites et quotidiennes sur la partie arrière gauche de son crâne au collège : il avait peur d’avouer à ses parents, par peur des représailles, et l’angoisse viscérale, précédée de vomissements sévères, de devoir affronter le regard noir de son bourreau. Cette angoisse se traduisait par une perte de poids excessive, des cauchemars fréquents entrecoupés de sursauts brutaux et une fatigue généralisée.

Un jour, en se baladant dans les couloirs de son école, il aperçoit une affiche ! Sur l’affiche, si vous avez été là, à ce moment précis, vous auriez vu un gros nombre en rouge : 100 ! C’est le prix en dollars (oui, parce que nous sommes aux États-Unis) du service proposé !

Après avoir capté son attention et suscité son intérêt, le jeune homme n’a pas tergiverser longtemps : il a investi. Il a investi en lui. Des dizaines d’années plus tard, on lui a demandé de donner son avis, il a répondu : « Cet investissement a changé ma vie ! ».

Il a investi dans un cours de prise de parole en public dans le très célèbre, Carnegie Institute : oui, l’auteur du bestseller « Comment se faire des amis ». C’est grâce à ce cours que ce timide profond a réussi à demander sa fiancée en mariage (en plein milieu du cours d’ailleurs : ça a le mérite d’être original, émouvant et mémorable, pas vrai ?).

Quelques années plus tard, il avouera que ce cours est :

« Le meilleur investissement de ma vie ! »

À propos d’investissement, ce jeune homme timide est devenu aujourd’hui, une référence voire la référence en matière d’investissement. Plus précisément, en matière d’investissement financier. Le petit Warren Buffet, incapable physiquement et mentalement, de monter sur scène est devenu un des plus grands milliardaires que cette planète ait connu.

Considéré par beaucoup de pointures comme étant le meilleur investisseur de tous les temps, le bonhomme a réussi à dépasser les 107 milliards de dollars tout de même. Warren Buffet a balancé, lors d’une interview Forbes, une phrase qui a marqué (et continuera de marquer) des millions de personnes : « le meilleur investissement que vous puissiez faire c’est celui qu’on ne pourra pas vous retirer, qu’on ne pourra pas vous taxer et qui ne sera pas victime de l’inflation : c’est d’investir en vous. C’est le meilleur investissement parce qu’il remplace et surpasse tous les autres ! »

Du coup, on peut aisément imaginer que pour réussir, en tout cas, maximiser ses chances, il faut investir en soi même. Maintenant la question qui vous taraude sûrement l’esprit et qui pourrait vous brûler les lèvres est : comment ? Comment investir en soi ?

Il y a plein de manières d’investir en soi. Aujourd’hui, j’ai envie d’en partager 11 : mes 11 préférées !

11 façons d’investir en soi.

1. Faire une introspection.

Prendre le temps de s’arrêter pour « regarder à l’intérieur de soi » peut paraître inhabituelle, farfelu voire insensé pour certains mais ça peut être terriblement puissant. En psychologie, l’introspection se caractérise comme étant une méthode d’étude et d’analyse qui a pour but de mieux connaître sa propre personne et ainsi devenir comme diraient certains, une meilleure version de nous-même ou en tout cas différente.

Elle contribue à l’épanouissement et au bonheur parce qu’elle facilite, optimise et améliore l’attitude que l’on a à son égard et vis-à-vis des autres. C’est le fameux : « connais-toi, toi-même (de Socrate) » pour mieux connaître les autres. L’introspection invite à mieux comprendre, connaître et gérer ses émotions, sensations, connaissances et perceptions afin d’optimiser ses actions.

Comment faire une introspection ?

Il y a des tas de possibilités, de façons et de manières. Cela peut être via la réflexion, un questionnement, une conscientisation, des techniques de respiration, la visualisation… ou encore la méditation voire le SWOT*. À vous, de trouver celle qui vous correspond. Outre l’introspection, l’objectif principal doit être de développer un état d’esprit et un mindset qui contribue et favorise la transformation.

* SWOT ( Acronyme de  Strengths – Weaknesses – Opportunities – Threats ) ou MOFF pour les Francophones ( Menaces – Opportunités – Forces – Faiblesses, ) est un outil très pratique lors de la phase de diagnostic stratégique . Il présente l’avantage de synthétiser les forces et faiblesses d’une entreprise au regard des opportunités et menaces générées par son environnement.

2. Lire des livres.

Cette stratégie est, à mon humble avis, trop souvent, sous utilisée, sous exploitée voir carrément négligée et pourtant tellement puissante. Petite précision, je fais référence, essentiellement, aux livres de non-fiction.

C’est simple, en général, un auteur va passer des centaines voire des milliers d’heures de travail pour produire et proposer un contenu qu’il considère comme étant à très forte valeur ajoutée.

Logiquement, il veut créer un livre qui va plaire, qui répond à une ou plusieurs problématiques, qui aide, qui partage son expérience, son expertise… ou ses connaissances.

Il va mettre son énergie, sa transpiration, son savoir, ses idées, son âme à votre service.

Les auteurs veulent, normalement, toucher un maximum de lecteurs. Ils veulent que les lecteurs apprécient la valeur proposée. En d’autres termes, en lisant un livre (et notamment les livres de non fiction) c’est comme si vous connectiez directement votre cerveau avec le cerveau de l’auteur.

Vous pouvez être un expert de pratiquement n’importe quel domaine simplement en lisant des livres, pas vrai ?

D’ailleurs comment faisaient les gens, passionnés, experts… pour se former avant internet ?

Les livres restent et resteront un formidable moyen d’investir en soi de manière efficace et à moindre coût (aujourd’hui, vous pouvez télécharger des Kindle de qualité gratuitement ou pour quelques centimes et des livres de grands experts qui partagent parfois des pépites, clés, outils, stratégies, connaissances… de toute une vie pour moins de 20 €. En y pensant, c’est génial, pas vrai ?).

Les bouquins ont de nombreux bénéfices et avantages, en plus d’être accessibles. Ils permettent de stimuler l’imagination, la créativité, le vocabulaire, les émotions… en plus de développer les connaissances. Vous connaissez beaucoup de leaders qui ne lisent pas ?

3. Investir dans la famille.

L’être humain est un être sociable qui a besoin de se rattacher à un moment ou à un autre à un groupe. Le fameux besoin d’appartenance.

D’ailleurs, je vous renvoie vers la Pyramide de Maslow et mon article sur le sujet.

Le premier groupe auquel il appartient c’est la famille. Investir du temps en famille c’est un des plus grands regrets qui revient en boucle lorsqu’on pose la question aux personnes en fin de vie (ou plus jeune d’ailleurs).

4. Nourrir la gratitude.

Pour moi, de manière générale, l’être humain a toujours besoin de plus, il en veut toujours plus.

Ce n’est pas foncièrement mauvais mais ça peut être très néfaste. Parfois, nous sommes ou nous pouvons être au fond du trou surtout quand les problèmes s’accumulent.

Le remède ?

Ma solution c’est la gratitude : tellement simple et tellement surpuissant.

La gratitude c’est quoi ?

C’est simplement le fait de se satisfaire de ce qu’on a. Je dirais même c’est de reconnaître les multiples bienfaits dont on dispose. Il est très facile de se focaliser sur ce qui ne va pas, sur ce qui manque, sur ce qui nous fait du mal, pas vrai ?

On a, parfois tendance à oublier, certains plus que d’autres, que nous bénéficions de multiples bienfaits et avantages, pas vrai ?

Et si nous ouvrions les yeux plus souvent sur la multitude de cadeaux offerts par la vie ?

Vous et moi, nous avons beaucoup de chance par rapport à d’autres, pas vrai ?

Je ne vais pas vous dérouler une longue liste de bienfaits ou vous assommer avec une énumération sans fin parce que je sais que vous êtes déjà, très certainement, en train de l’imaginer dans votre tête, en ce moment, même.

Attention, pour moi c’est normal de vouloir avancer, de vouloir plus, de vouloir évoluer, progresser… d’ailleurs nous pouvons très bien tâcher de trouver un équilibre entre les deux au lieu de nous concentrer sur un seul côté de la barrière.

5. Prendre soin de sa santé

Vous serez, très certainement, d’accord avec moi pour dire que sans énergie, on ne peut atteindre des sommets. Ça semble tellement évident, et pourtant, c’est parfois très difficile de maintenir un bon niveau d’énergie. Il est très facile de négliger son corps.

Le problème c’est qu’on a qu’un seul corps !

Faire du sport, régulièrement, permet d’investir dans une bonne habitude qui génère énormément de bénéfices non seulement pour le corps mais également pour l’esprit. À titre d’exemple, on peut citer la prévention des maladies, la régulation du poids, l’augmentation de l’énergie, l’amélioration du sommeil, l’évacuation du stress…

Quelle est votre manière de brûler des calories en vous amusant ?

Dans la partie santé, je pourrais vous parler d’autres éléments comme l’importance de l’alimentation et du sommeil mais ils feront l’objet d’un prochain article très complet. En attendant, je vous invite à méditer sur cette fameuse phrase du père fondateur de la médecine moderne, Hippocrate : « Que ton aliment soit ton premier médicament ».

6. Magnifier son image.

Vous avez probablement déjà entendu cette phrase qui dit : « Ne jugez pas un livre à sa couverture ! ». Eh bien, c’est très souvent l’inverse qui se produit.

Que ce soit de manière conscient ou inconsciente, les individus ont tendance à juger les autres en moins de 2 secondes. Ils se forgent une première opinion basée, dans un premier temps, sur ce qu’ils voient.

Imaginez un homme, la cinquantaine, dans la rue, assis par terre sur un trottoir, très négligé : avec les cheveux gras, en pétard, une barbe désordonnée, des vêtements sales, délavés, troués avec deux chaussures différentes dont une qui laisse le gros orteil prendre l’air. Disons-le clairement, il a l’allure d’une personne dans le besoin (pour ne pas dire sans domicile fixe).

Maintenant imaginez un trentenaire bien rasé, très élégant, portant un costume 3 pièces de plus de 1997 €, arborant fièrement une montre de luxe et des mocassins luisants d’une grande maison de haute couture italienne. Il y a peut-être 10 ans, j’ai rencontré à quelques semaines d’intervalles, ces 2 personnes : disons que nos chemins se sont croisés.

Le premier m’a révélé être un grand médecin en exercice qui menait une expérience pour comprendre, ressentir, expérimenter et à terme aider. Le deuxième m’a avoué que c’était un grand pickpocket qui était animé par un esprit de vengeance inspiré de Robin des bois. Quoi qu’il soit, ce qui est sûr, c’est que comme vous le savez dans la société d’aujourd’hui l’apparence peut être un atout comme un sérieux désavantage.

7. Investir dans des formations.

Il ne viendrait jamais à l’idée d’un boucher ou d’un mécanicien de ne pas se former c’est-à-dire de ne pas apprendre le métier avant de se lancer.

Pourquoi beaucoup de coachs, consultants, thérapeutes, formateurs, auteurs, prestataires de service… se lancent sans aucune formation, accompagnement, ou expertise ?

Pourquoi beaucoup de personnes trouvent normal de payer 2000, 5000, 10 000 € ou plus pour une année d’étude, une formation, un diplôme (d’avocat, de médecin, de thérapeute…) mais totalement improbable d’acheter un livre, un audio ou une formation en ligne pour quelques euros ou quelques dizaines d’euros ?

Pourquoi beaucoup d’experts s’accordent à dire qu’il faut en moyenne 20 000 d’heures soit plus de 11 ans (si on estime que la personne étudie en moyenne 7 heures par jour de manière quasi quotidienne) pour devenir un expert et beaucoup de pseudo experts pensent être professionnels en ayant lu 2 livres ?

Pourquoi pour certains est-il normal qu’un médecin fasse plus de 10 ans d’étude et qu’un coach seulement 10 heures ?

Vous l’aurez compris, pour moi, pour être professionnel, crédible, en confiance… il faut se former.

8. Investir dans les accompagnements et les événements.

Dans ce cas, je pense aux offres de coaching, consultation individuelles ou de groupe ou encore aux séminaires, workshops et masterminds.

En plus de développer vos connaissances et vos compétences, vous allez vivre ou continuer de vivre (rappelez-vous cet événement ou cette expérience mémorable que vous avez vécu !) des expériences uniques. Des expériences de vie, des interactions riches et des émotions fortes qui ne peuvent avoir lieu que lorsqu’il y a un certain environnement propice à l’alchimie.

9. Développer son cercle.

Qu’il soit d’amis, de collègues, de partenaires… ou autre, cela peut être un énorme atout.

Le grand Jim Rohn (un de mes experts préférés) a dit : « Vous êtes la moyenne des 5 personnes avec lesquelles vous passez le plus clair de votre temps ».

Concrètement ça veut dire que nous sommes influencés et nous influençons notre entourage et ce de manière consciente ou inconsciente. De manière générale, c’est plutôt vrai, les millionnaires s’entourent de millionnaires, les passionnés de musique s’entourent de passionnés comme eux, les informaticiens côtoient des informaticiens… et ainsi de suite. En d’autres termes, votre cercle contribue à votre développement, votre évolution, votre transformation, votre réussite…

D’où l’intérêt et l’importance de le faire évoluer, fusionner ou de le changer. On a tous besoin de personnes qui nous challenge, nous stimulent, nous font vibrer, qui nous aident c’est-à-dire qui nous tirent vers le haut.

10. Investir dans une activité ou un business.

L’entrepreneuriat est devenu accessible. Plus besoin d’avoir des crédits de plusieurs centaines de milliers d’euros sur le dos pour pouvoir lancer une activité.

Aujourd’hui, il est possible de lancer un business avec zéro euro. D’ailleurs c’est devenu accessible, cela demande de plus en plus de compétences, d’agilité, de créativité, de ténacité, de discipline… pour se positionner, se différencier et tirer son épingle du jeu. La barrière à l’entrée est certes plus petite voire inexistante dans beaucoup de domaines mais les défis, challenges, obstacles… ne sont pas moindres.

11. Investir dans un coach ou un mentor.

Le coach ou le mentor peut grandement vous aider à atteindre vos objectifs et vos rêves parce qu’il peut voir des éléments que vous ne voyez pas, parce qu’il a les compétences, l’expertise ou le talent que vous n’avez pas (encore).

Il peut grandement vous aider à garder le focus et la discipline grâce à des outils, des méthodes et des clés qui ont fait leurs preuves. Dans la jungle, il faut mieux être accompagné d’un guide expérimenté.

Quand investir en soi ?

Kenneth Blanchard a dit : « Si tu arrêtes d’apprendre alors tu arrêtes de grandir (c’est-à-dire de te développer) ».

Albert Einstein a dit : « Si tu arrêtes d’apprendre alors tu arrêtes de vivre ».

Tous les plus grands experts, coachs, consultants, entrepreneurs… vous diront (normalement) que l’apprentissage et donc l’investissement en soi est perpétuel.

Contrairement à ce que pensent la plupart des personnes : l’apprentissage ne s’arrête pas une fois qu’on a quitté les bancs de l’école.

Qu’en pensez-vous ?

En tout cas, que l’investissement soit gratuit ou payant, tangible ou intangible il peut grandement contribuer à votre transformation, celle de votre entourage et celle des autres.

En bref, plus vous investissez sur vous plus vous augmentez vos chances de réussir dans tous les domaines de la vie. En tout cas, je vous invite et vous recommande chaudement de (continuer de) le faire.

Investissez donc (vos pensées) votre temps, votre énergie et votre argent en vous et pour vous afin d’avoir de l’impact (sur vous et sur les autres).

Quel sera votre prochain investissement ?

Est-ce que cet article a été un bon investissement de temps ?

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